- Bruce Wayne / Batman
- Renommée : 662
Fiche RPG
Santé:
(0/0)
Endurance:
(0/0)
L'image Sociale, c'est important - Bruce side
Jeu 22 Mar - 15:27
Bruce Wayne
L'image Sociale, c'est important ~
L'image Sociale, c'est important ~
♠ Musique d'ambiance ♠
Gotham - Wayne Enterprises - Penthouse
20h12
Arrivé par la fenêtre, il est déjà bien tard quand la glace de ma salle de bain me renvoi une image pas forcément jolie à voir. Le nez démit, je suis obliger d'imaginer et préparer comment j'allais expliquer à chacun la manière dont mon sparring-partner de boxe m'a frappé. J'allais aussi expliquer mon retard par un tour à l’hôpital, et m'assurer qu'aucune photo ne donne trop de visibilité à cette blessure : il suffisait qu'Harley tombe dessus pour m'enlever toute chance de pouvoir dissimuler mon identité.
Ma journée avait été bien longue et rude. A vrai dire, j'étais déjà épuisé par le sang perdu alors que la nuit commençait à peine. J'avais laissé passé un deal d'armement, et devais composer avec une oeuvre de charité pour me sentir un peu plus utile. Choux blanc pour le joker, choux blanc face à la pègre, une journée inutile. Empli de colère, je frappe le miroir de la salle d'eau attenante à mon bureau au penthouse de la tour, ce qui attire l'attention de Vicky qui venait d'entrer d'elle-même dans le Penthouse...
J'avais oublié qu'elle m'attendait et que nos entrevues régulières dans ma chambre lui avaient donné certains privilèges, dont celui de pouvoir me rejoindre au dernier étage sans frapper ou s'annoncer. Je suis encore à moitié costumé, et seule la fine porte entre la salle de bain et le bureau nous sépare. J'avais passé trop de temps à réfléchir, et mes accessoires étaient encore répartis de façon totalement chaotique.
Pas moyen qu'elle n'entre. Très vite, je la rassure pour gagner du temps et temporiser, tout simplement :
Mon smoking était pendu, et j'allais pouvoir rapidement ranger ma tenue nocturne avant qu'elle ne puisse vouloir entrer. Mais c'est mal connaitre les femmes...
Coquine... Mais je n'avais vraiment pas l'état d'esprit ni le temps pour cela. Je venais de débattre brièvement sur l'amour avec Harley, apprendre que le Joker avait réellement disparu, qu'un nouveau magnat des armes avait débarqué à Gotham et que je devais le rencontrer tout à l'heure. Trop d'affects, même pour moi.
J'essaie de jouer la comédie. Je le fais plutôt bien. Elle s'inquiète, se dirige vers la porte. Mon costume de chauve-souris est léger. Il tiendra dans l'armoire le temps qu'elle s'en aille. Ma Bat-ceinture est rangée. Il n'y a plus de danger. La porte s'ouvre, elle prend un air à la fois rempli d'horreur et de compassion, avant de se diriger vers moi pour m'embrasser.
Elle connait ma musculature, mes cicatrices. Des parties de jambes en l'air, avec notre degré d'intimité, laissent entrevoir les corps sans honte ni inconnu. Elle me caresse la joue et m'aide à dissimuler l'hématome laissé par la violence du coup sous du fond de teint. Je termine mon noeud de cravate : un windsor. On reste classique, mais classieux. J'entend mon portable sonner. Je décroche et entend l'accent délicat de mon majordome et ami : Dick patrouillera avec Damian ce soir, et Alfred m'attends en bas pour me conduire au lieu de rendez-vous. Vicky me regarde, consciente que le temps que nous avions passé aura été bref mais agréable. Je lui souris, alors que je me prépare à raccrocher sur quelques mots :
20h12
Arrivé par la fenêtre, il est déjà bien tard quand la glace de ma salle de bain me renvoi une image pas forcément jolie à voir. Le nez démit, je suis obliger d'imaginer et préparer comment j'allais expliquer à chacun la manière dont mon sparring-partner de boxe m'a frappé. J'allais aussi expliquer mon retard par un tour à l’hôpital, et m'assurer qu'aucune photo ne donne trop de visibilité à cette blessure : il suffisait qu'Harley tombe dessus pour m'enlever toute chance de pouvoir dissimuler mon identité.
Ma journée avait été bien longue et rude. A vrai dire, j'étais déjà épuisé par le sang perdu alors que la nuit commençait à peine. J'avais laissé passé un deal d'armement, et devais composer avec une oeuvre de charité pour me sentir un peu plus utile. Choux blanc pour le joker, choux blanc face à la pègre, une journée inutile. Empli de colère, je frappe le miroir de la salle d'eau attenante à mon bureau au penthouse de la tour, ce qui attire l'attention de Vicky qui venait d'entrer d'elle-même dans le Penthouse...
"Bruce ?... Vous êtes là ? J'ai cru entendre un bris de verre."
J'avais oublié qu'elle m'attendait et que nos entrevues régulières dans ma chambre lui avaient donné certains privilèges, dont celui de pouvoir me rejoindre au dernier étage sans frapper ou s'annoncer. Je suis encore à moitié costumé, et seule la fine porte entre la salle de bain et le bureau nous sépare. J'avais passé trop de temps à réfléchir, et mes accessoires étaient encore répartis de façon totalement chaotique.
Pas moyen qu'elle n'entre. Très vite, je la rassure pour gagner du temps et temporiser, tout simplement :
"Vicky ! Laissez moi un instant, je finis de me raser."
Mon smoking était pendu, et j'allais pouvoir rapidement ranger ma tenue nocturne avant qu'elle ne puisse vouloir entrer. Mais c'est mal connaitre les femmes...
"Hahaha... Puis-je rejoindre M. Wayne ? J'ai envie de vous voir torse nu avec de la mousse sur le visage..."
Coquine... Mais je n'avais vraiment pas l'état d'esprit ni le temps pour cela. Je venais de débattre brièvement sur l'amour avec Harley, apprendre que le Joker avait réellement disparu, qu'un nouveau magnat des armes avait débarqué à Gotham et que je devais le rencontrer tout à l'heure. Trop d'affects, même pour moi.
"A vrai dire, je rentre d'un entrainement, et je crois que je me suis cassé le nez !"
J'essaie de jouer la comédie. Je le fais plutôt bien. Elle s'inquiète, se dirige vers la porte. Mon costume de chauve-souris est léger. Il tiendra dans l'armoire le temps qu'elle s'en aille. Ma Bat-ceinture est rangée. Il n'y a plus de danger. La porte s'ouvre, elle prend un air à la fois rempli d'horreur et de compassion, avant de se diriger vers moi pour m'embrasser.
"- Aïe !
- J'espère que l'autre est aussi amoché que vous ?!
- C'était un champion ! Mais je me suis bien débrouillé."
- J'espère que l'autre est aussi amoché que vous ?!
- C'était un champion ! Mais je me suis bien débrouillé."
Elle connait ma musculature, mes cicatrices. Des parties de jambes en l'air, avec notre degré d'intimité, laissent entrevoir les corps sans honte ni inconnu. Elle me caresse la joue et m'aide à dissimuler l'hématome laissé par la violence du coup sous du fond de teint. Je termine mon noeud de cravate : un windsor. On reste classique, mais classieux. J'entend mon portable sonner. Je décroche et entend l'accent délicat de mon majordome et ami : Dick patrouillera avec Damian ce soir, et Alfred m'attends en bas pour me conduire au lieu de rendez-vous. Vicky me regarde, consciente que le temps que nous avions passé aura été bref mais agréable. Je lui souris, alors que je me prépare à raccrocher sur quelques mots :
"- Nous serons deux..."
→ Partie 2
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